深圳副市长什么级别| 炖乌鸡汤放什么配料| 女人的逼长什么样| se是什么意思| 胎儿靠什么吸收营养| 什么水果对心脏有好处| hrd是什么| 凝血功能是什么意思| 尿隐血阴性是什么意思| 外阴瘙痒抹什么药| 脱式计算是什么意思| 舌面上有裂纹是什么病| 慢性浅表性胃炎吃什么药好得快| 婚姻是爱情的坟墓是什么意思| daogrs是什么牌子| 暗戳戳是什么意思| 心字旁的字有什么| 1943年属什么生肖| 1978年是什么年| 安静如鸡什么意思| 身份证上的数字是什么字体| 前位子宫和后位子宫有什么区别| 羊悬筋是什么样子图片| 梦见自己得了重病预示什么| 医院dr检查是什么| 门面是什么意思| 家里养什么动物吃蟑螂| 低密度脂蛋白偏高是什么意思| 山竹有什么功效和作用| 怀孕后壁和前壁有什么区别| 生快是什么意思| dr什么意思| 结石能喝什么茶| 长湿疹是什么原因引起的| 小儿疳积是什么症状| 耳朵痒是什么原因| 红丝带的含义是什么| 甘油三酯高是什么| 1009是什么星座| 胆囊息肉样病变是什么意思| 丨什么意思| swell是什么牌子| 降血压吃什么药| 中指尖麻木是什么原因| 甲亢在中医里叫什么病| 80属什么| ab型血为什么叫贵族血| 孱弱是什么意思| 西洋参什么人不能吃| 全身疼痛是什么原因| 乙肝核心抗体高是什么意思| 强调是什么意思| 劫持是什么意思| 赫五行属性是什么| 黑色素瘤是什么| 抑菌是什么意思| 艾玛是什么意思啊| 白质脱髓鞘是什么病| 小便短赤什么意思| 西安有什么好吃的| 心律不齐吃什么药效果好| 梦到自己杀人是什么意思| 非文念什么| txt是什么意思| 眼屎多用什么眼药水好| 吃什么油对心脑血管好| 5月5日什么星座| 防蓝光眼镜有什么用| 芝麻什么时候种| 花千骨最后结局是什么| 喝咖啡有什么好处和坏处| 支抗钉是什么| 水漂是什么意思| 经常咬手指甲是什么原因| 贝贝是什么意思| 大便出血吃什么药好得快| 几成是什么意思| 刚产下的蚕卵是什么颜色| 白色糠疹是什么原因引起的| 挂什么科| 脚为什么会发麻| 双子座和什么星座最不配| 旌旗是什么意思| 冤亲债主是什么意思| 肚子胀气什么原因| 凝血四项能查出什么病| 血糖低吃什么补的最快| 睾丸肿大吃什么药| 凝血六项是检查什么的| 白脉病西医叫什么病| 刚怀孕吃什么最好最营养| 姻亲是什么意思| 荷尔蒙爆棚是什么意思| 明天我要离开是什么歌| 忌讳是什么意思| 什么叫甲亢病| 梦见楼塌了是什么意思| 为什么不可以| 孩子咳嗽有痰吃什么药| 孔雀女是什么意思| 股骨径是指胎儿什么| 胡萝卜炒什么| 一带一路是指什么| 霉菌性阴道炎用什么药好| 吃李子不能吃什么| 银子有什么功效与作用| 梦到狗是什么意思| 吃什么能降血糖| 雯五行属什么| 小朋友膝盖疼是什么原因| 出人头地是什么意思| 不可翻转干燥是什么意思| 小海绵的真名叫什么| 酸菜鱼可以放什么配菜| 什么是生物钟| 怀孕做无创是查什么| 哮喘挂什么科| 诗经又称什么| 荔枝什么时候成熟季节| 什么情况下会宫外孕| 股癣是什么样的| 景色什么| 为什么会拉水| nba打铁是什么意思| 多囊为什么要跳绳而不是跑步| 草字头一个见念什么| 嗯嗯嗯是什么意思| 74岁属什么生肖| 可孚属于什么档次| 人得了猫藓用什么药膏| 盆腔钙化灶是什么意思| 做什么生意最赚钱| 拌嘴是什么意思| 嫩绿的什么| hcg高是什么原因| 哺乳期感冒吃什么药不影响哺乳| 五十岁叫什么之年| 中暑吃什么好| 男人小腹疼痛是什么原因| 被动什么意思| 占有欲是什么意思| 眼底充血用什么眼药水| 骨骼闭合了还有什么办法可以长高| 电压高是什么原因造成| 鼻窦炎吃什么药效果好| 1994年五行属什么| 0.01是什么意思| 血液为什么是红色| 吹箫是什么意思| 头发斑秃是什么原因引起的| 孩子爱咬指甲是什么原因| 梦见一条小蛇是什么意思| 氨甲环酸又叫什么名| 86岁属什么生肖| edifice是什么牌子手表| 商贩是什么意思| 木薯是什么东西图片| 什么是心律不齐| 肥胖去医院挂什么科| 八字加一笔是什么字| 缺钾什么症状| 百合有什么作用| 胆囊毛糙是什么意思| 什么补气血| 持之以恒的恒是什么意思| 稀字五行属什么| 黑头是什么| 烧伤的疤痕怎么去除用什么法最好| 息怒是什么意思| 月经量少要吃什么调理| 米鱼是什么鱼| 九三年属什么生肖| 趋光性是什么意思| 水晶粉是什么原料做的| 二甲苯是什么东西| anti是什么意思| 肝是干什么用的| 桔子树用什么肥料最好| 足跟血筛查什么疾病| 无菌敷贴是干什么用的| 5月11日是什么星座| 宝贝是什么意思| 琉璃是什么材料| 男士戴什么手串好| 石女什么意思| 吃什么水果容易减肥| 鼻子流血什么原因| 内裤发霉是什么原因| 痔疮初期症状是什么| 什么样的女人不能娶| 为什么要做肠镜检查| 喉咙干是什么病的前兆| 老人流口水是什么原因| 白带黄什么原因| 欧根纱是什么面料| 脚趾骨折是什么感觉| 舌苔黄腻厚是什么原因| 腰酸痛挂什么科| 为什么长火疖子| 书法用什么笔| 龙虾和什么不能一起吃| 总胆红素高是什么意思| 前凸后翘什么意思| 坐骨神经痛吃什么药| 劳力士手表什么档次| 六个月宝宝可以吃什么水果| 七寸是什么意思| 23数字代表什么意思| 双鱼座和什么座最配对| 咽喉干燥是什么原因| 胃囊肿是什么病严重吗| 印度人信仰什么教| 智商105是什么水平| 病毒性心肌炎吃什么药| 生理期是什么| 空调一匹是什么意思| 上不下大是什么字| 甲状腺一度肿大是什么意思| 红红火火是什么生肖| 咳嗽不能吃什么水果| 取环后要注意什么事项| tm是什么| 肚脐下方疼是什么原因| 女生下面长什么样| 大便带血是什么原因男| 人工肝是什么意思| 为什么会长溃疡| 放大镜是什么镜| 肾积水是什么原因造成的| 肾窦分离是什么意思| 分析是什么意思| 这个梗是什么意思| 母鸡什么意思| 母是什么结构| 2.7是什么星座| 老年人嗜睡是什么原因| 口苦是什么原因造成的| 嘴唇淡紫色是什么原因| 老打嗝是什么原因引起的| 吃天麻对身体有什么好处| 为什么月经迟迟不来又没怀孕| 水煮鱼用什么鱼| 十月7号是什么星座| 上热下寒吃什么中成药| 中古包是什么意思| 尿隐血阴性是什么意思| 腰底部疼痛跟什么病有关| 老人反复发烧预示什么| 开诚布公是什么意思| 纹身有什么讲究和忌讳| 草莓印是什么意思| 8月一日是什么节日| 散光跟近视有什么区别| 中央电视台台长是什么级别| 18度穿什么衣服合适| 红虾是什么虾| raf是什么意思| 为什么女人比男人长寿| 血压高的表现症状是什么| 音字五行属什么| 霍金是什么病| 抄经书有什么好处| 身上为什么会长小肉球| 排卵期有什么症状表现| 百度Aller au contenu

膛目结舌是什么意思

Un article de Wikipédia, l'encyclopédie libre.
Rome dans les premières années de sa fondation au VIIIe siècle av. J.-C.

La fondation de Rome décrit les aspects mythologiques et historiques de la naissance de la ville de Rome au cours du VIIIe siècle av. J.-C.

Les recherches historiques et archéologiques récentes renouvellent la représentation de l'origine de la ville et mettent souvent à mal le récit traditionnel que les auteurs antiques en ont laissé.

La tradition

[modifier | modifier le code]
Selon les mythes, Rome fut fondée par Romulus et Rémus, qui, dans leur enfance, auraient été nourris par une louve.
Haut-relief représentant Romulus et Rémus allaités par la louve sur la Maison de la Louve à la Grand-Place de Bruxelles.

Deux traditions existent dans l'Antiquité sur l'origine de Rome :

Virgile tira de la première tradition une épopée intitulée L'énéide, récit qui a plus une prétention poétique (dans la lignée de Homère) qu'historique. Voir, à ce propos, la légende d'énée.

Le récit de la fondation

[modifier | modifier le code]
Enfance de Romulus et Remus
Sebastiano Ricci, vers 1708
Musée de l'Ermitage, Saint-Petersbourg[1].
Lithographie du XIXe siècle représentant Romulus qui trace le pomerium à l'aide d'un araire à soc de bronze.

D'après les mythes romains, Romulus fonde la ville de Rome à l'emplacement du mont Palatin sur le Tibre le

C'est à partir de cette date fictive que les Romains comptent les années. Cette convention nécessitait une justification mythique pour en affirmer le caractère sacré ; deux principales narrations sont connues à travers la littérature gréco-latine sur le récit de cette fondation :

Selon le mythe rapporté par Tite-LiveHistoire romaine [détail des éditions] [lire en ligne], I, 4, Procas, le roi d’Albe-la-Longue, a deux fils : Numitor et Amulius. à la mort de leur père, l’héritage est partagé à parts égales : l'a?né, Numitor, obtient le tr?ne, tandis qu’Amulius, le cadet, récupère les richesses et l’argent paternel.

Dé?u par le partage, Amulius détr?ne son frère et tue le fils de Numitor, Lausus. Afin d’être s?r que la lignée de Numitor disparaisse, il fait également de sa nièce, Rhéa Silvia, une vestale dont le sacerdoce l’oblige à rester vierge tout au long de sa vie.

Néanmoins, le dieu Mars tombe fou amoureux de la jeune fille qui accouche de jumeaux : Romulus et Rémus. Amulius fait alors emmurer la vestale et condamne les nourrissons à être jetés dans le Tibre. Les enfants sont abandonnés dans une fondrière, sur les rives du fleuve en crue, par le serviteur chargé d'exécuter la sentence.

Ils sont alors recueillis par une louve qui les allaite dans la grotte du Lupercal, au pied du Palatin. Par la suite, le berger Faustulus, témoin de ce prodige, recueille les jumeaux au pied du Ficus Ruminalis (figuier sauvage) situé à l’entrée de la grotte et les élève, en compagnie de son épouse Acca Larentia. Cette dernière aurait été une prostituée que les bergers des environs auraient surnommée lupa, en latin ? louve ? ou ? prostituée ?. Ce serait donc par un jeu symbolique que des auteurs antiques auraient créé le mythe de la louve, tirant parti de la puissance redoutable de l'animal au profit de leur cité, puissance crainte par les bergers de la civilisation étrusque pastorale qui éprouvent une peur religieuse de ce prédateur, puissance admirée par les soldats de la civilisation romaine conquérante qui envient sa force et son adresse[2].

Devenus adultes, Romulus et Rémus décident de fonder une villeHistoire romaine [détail des éditions] [lire en ligne], I, 6. N'arrivant pas à départager celui des deux qui donnerait son nom à la nouvelle ville, ils s'en remettent aux augures, cette prise d'auspices ayant pour but d'interroger les dieux sur la légitimité de l'espace choisi et d'obtenir ainsi l'assentiment divin pour y inscrire la nouvelle cité[3]. Romulus se place sur le mont Palatin, là où ils avaient été découverts et élevés par la Louve, Rémus sur l'Aventin. Ce dernier est le premier à voir six vautours voler dans le ciel. Aussit?t après, Romulus voit douze vautours. Rémus avait donc pour lui la primauté, alors que Romulus avait le nombre le plus important. Ce fut Romulus qui finalement fut désigné.

Alors qu'il trace le pom?rium (sillon sacré délimitant l'espace à urbaniser, l'urbs, du reste du territoire, l'ager romanus) en guise de mur, soulevant l'araire de bronze[Note 1] attelé d'un taureau et d'une vache[Note 2], son frère Rémus franchit armé ce rempart symbolique pour provoquer son frère. Cette faute criminelle est un présage funeste : les murailles de la ville ne seront plus infranchissables aux troupes lors des guerres civiles et aux incursions ennemies[Note 3]. Pour annuler ce présage, Romulus est contraint de tuer son frère en songeant à l'adage Insociabile regnum (? Le pouvoir ne se partage pas ?), marquant ainsi tout aussi symboliquement l'intransigeance sourcilleuse de Rome devant toute incursion malveillante. ? Par sa prompte riposte, interprétée plus tard comme un pur fratricide et non comme une annulation du présage, les ennemis de Rome seront finalement vaincus et éliminés[Note 4] ?.

Ce rite fondateur est suivi de divers événements qui concourent au peuplement initial de Rome : l'enlèvement des Sabines, guerre contre le roi sabin Titus Tatius, secours apporté par le chef étrusque C?lius Vibenna qui s’installe sur une colline à laquelle il donne son nom (selon Varron), paix avec les Sabins, et partage du pouvoir avec Titus Tatius.

Traditions alternatives

[modifier | modifier le code]

Denys d'Halicarnasse a recensé plusieurs traditions alternatives[7] :

  • D'après Cephalon de Gergis, Demagoras et Agathyllos, Rome aurait été fondée par Romos, fils d'énée et frère d'Ascagne, Euryleon et Romulos ;
  • D'après Hellanicos et son disciple Damastès de Sigée, Rome aurait été fondée par énée lui-même, à son arrivée en Italie après être passé au pays des Molosses ;
  • D'après Callias de Syracuse (v. 350 - v. 270 av. J.C.), Rhomè est une des femmes troyennes qui se réfugient en Italie après la chute de Troie. Elle épouse Latinos, roi des Aborigènes (nom donné aux premiers habitants de l'Italie, qui prirent par la suite le nom de Latins, d'après leur roi), de qui elle eut trois fils, Rhomos, Romulos et Télégonos, qui fondèrent une ville et lui donnèrent le nom de leur mère[8],[9] ;
  • D'après Xenagoras (en), Rome aurait été fondée par Romos, fils d'Ulysse et de Circé ;
  • D'après Denys de Chalcis, Rome aurait été fondée par Romos, fils d'Ascagne ou d'Emathion ;
  • D'après d'autres auteurs, dont le nom n'est pas rapporté par Denys d'Halicarnasse, Rome aurait été fondée par Romos, le fils d'Italus et de Leucaria, la fille de Latinus.

La date de la fondation

[modifier | modifier le code]

Rome a été fondée, selon la tradition, au milieu du VIIIe siècle av. J.-C.[10].

L'anniversaire du jour de la fondation de Rome était célébré le 21 avril (fête des Parilia). L'année fixée par la tradition romaine et qui s'est imposée à la postérité est -753, date proposée par un érudit romain du Ier siècle, Varron[Note 5], malgré quelques propositions alternatives :

  • Timée de Tauroménion (vers -350, -250), cité par Denys d’Halicarnasse, propose -814[12], en même temps que la fondation de Carthage.
  • Calpurnius Piso, d'après Censorin[13], propose -758[12].
  • Quintus Fabius Pictor (vers -254, -201), le premier historien romain, se base sur une royauté de 7 générations de 35 ans qui précède l'établissement de la République et aboutit à -747[12] ou -748.
  • Le censeur Caton l'Ancien (-234, -149) qui rédigea une histoire des Origines calcule 432 ans après la guerre de Troie, et obtient -751[12].
  • L'écrivain romain Varron (-116, -27) reprend les travaux de Fabius Pictor et corrige la date de fondation de Rome en -753/754, ce que Tite-Live adoptera.
  • Denys d'Halicarnasse, dans une démonstration argumentée sur la chronologie des rois, date la fondation de Rome de la première année de la septième olympiade, soit -751[14].
  • Polybe de Mégalopolis, la deuxième année de la septième olympiade d'après une tablette conservée par les grands pontifes, soit -750[12].
  • Cornelius Nepos et Diodore, -550[12].
  • Lucius Cincius Alimentus, d'après Denys d'Halicarnasse[14] et Solin[15], propose -728 ou -728[12], quatrième année de la douzième olympiade.

Les vestiges au temps de la République romaine

[modifier | modifier le code]

Au temps de Cicéron, donc au Ier siècle av. J.-C., les Romains montraient fièrement sur le Palatin la casa Romuli, une cabane au toit de chaume et aux murs de torchis, où le berger Faustulus éleva les enfants Romulus et Rémus, et une autre cabane sur le Capitole devant le temple de Jupiter Optimus Maximus, attribuée à Romulus en personne ou encore à son collègue Titus Tatius. Vestiges respectés et attributions légendaires, ce sont des indices d’habitat certainement très anciens, mais de quelle époque ?

Le lieu de la fondation

[modifier | modifier le code]

Les auteurs de l'Antiquité s'accordent pour considérer que le site de Rome était déjà habité lors de sa fondation.

Au moins trois des peuples albains (populi albenses), habitants primitifs du Latium, dont la liste nous a été transmise par Pline l'Ancien[16], occupaient des collines voisines au Capitole.

En effet, les Querquetulani habitaient le C?lius. D'après Tacite[17], le Caelius se serait d'abord appelé le Querquetulanus, en raison du grand nombre de chênes dont il était couvert. D'après Pline l'Ancien[18], son nom primitif se serait perpétué par la porte Querquétulane (Querquetulana porta), nom qu'il donne à la porte C?limontane (Caelimontana porta) située entre le C?lius et l'Esquilin. Le C?lius n'aurait pris le nom qu'après que C?lius Vibenna, un chef étrusque appelé au secours de Rome fut établi en cet endroit par Tarquin l'Ancien ou un roi antérieur.

D'autre part, les Velienses habitaient le Velia ; les Querquetulani, le Caelius ; et les Vimitellari, le Viminal. S'y ajoutent peut-être les Munienses, que certains auteurs[19] identifient aux Mucienses, habitants du Mucial, la partie centrale du Quirinal, mais que d'autres identifient aux habitants de Castrimoenium ; les Foreti, que certains identifient aux habitants du forum romain.

Le Palatin aurait abrité Saturnie (Saturnia).

D'après Pline l'Ancien[20], le Janicule aurait abrité Antipolis. D'après Virgile, il s'agissait d'un oppidum[21] qui aurait été fondé par Janus lui-même[22] et se serait appelé Janiculum[23].

D'après de nombreux auteurs antiques, le Palatin aurait abrité Pallantée, ville fondée par évandre, originaire de la ville homonyme d'Arcadie, fondée par Pallas, l'a?eul d'évandre, et située au nord-est de Mégalopolis dans le Péloponnèse.

Critiques et explications de la tradition

[modifier | modifier le code]

Tite-Live et Denys d’Halicarnasse émirent eux-mêmes des réserves sur ce qu’ils rapportaient. Ainsi Tite-Live rapproche le surnom Lupa et l'histoire de la louve.

Au XVIIIe siècle, un rejet massif s’exprime avec la Dissertation sur l’incertitude des cinq premiers siècles de l’histoire romaine, de Louis de Beaufort, publiée en 1738.

L’historien Mommsen (1817-1903) a exprimé des doutes plus modérés. Il émet l’hypothèse que la tradition antique a pu se construire à partir de faits réels mais projetés sur un passé lointain et transformés en mythes. Par exemple, l’immigration à Rome de population sabine (arrivée des Claudii) au début de la République serait à l’origine de l’épisode de l’enlèvement des Sabines et de l’association avec Titus Tatius.

D’autres critiques soulignent l’habitude des auteurs anciens d’inventer un personnage éponyme pour fournir l’origine du nom d’un lieu. Romulus et Rome, le chef étrusque C?lius Vibenna et la colline du C?lius sont des exemples de ce mécanisme.

Georges Dumézil, pour sa part, explique les légendes de la fondation de Rome comme un récit mythique structuré par le système de fonctions tripartites indo-européennes. à partir de traditions indo-européennes, les Romains auraient inventé les légendes fondatrices, ces légendes exprimant en fait des schémas idéologiques indo-européens. Romulus et Numa Pompilius se partagent la fonction de souveraineté sacrée, Tullus Hostilius représente la fonction guerrière et Ancus Marcius représente la troisième fonction de production et de fertilité. La fondation de Rome est plus précisément basée sur deux mythes principaux : d’une part, le M?nnerbund, mené par des jumeaux en rupture avec leur communauté d’origine, de l’autre, la ? guerre de fondation ? qui exalte la cohésion de la société lignagère fondée sur la solidarité et la concorde de ses composantes fonctionnelles[24].

Les analyses archéologiques apporteront des éléments nouveaux.

L'apport de l'archéologie

[modifier | modifier le code]

L'archéologie a montré que le site de Rome a été occupé dès le Xe siècle av. J.-C. Le site de Rome n'est alors qu'un ensemble de villages de pasteurs, répartis sur les collines entourant la dépression du forum romain.

Les premières découvertes archéologiques à Rome

[modifier | modifier le code]
Le site de Rome et les vestiges du Xe?–?VIIIe siècles.
Fonds de cabanes avec leur trous de poteaux sur le Germal.

Les premières découvertes datent du début du XXe siècle, et furent suivies d’autres, au hasard des travaux ou des sondages :

  • quelques vestiges trouvés entre le Tibre et le forum Boarium attestent une présence vers le IIe millénaire av. J.-C., mais celle-ci ne semble pas avoir été continue. Elle n’est donc pas retenue comme contribuant à la fondation de Rome.
  • sur le Germal (sommet ouest du Palatin), on découvrit en 1907 des fonds de cabanes que l’on dégagea en 1949 : sols creusés dans le tuf de la colline, trous de poteaux, traces de foyer ; les céramiques associées dataient du VIIIe siècle av. J.-C.
  • sur le Palatual (sommet est du Palatin), d’autres fonds de cabanes furent découverts.
  • la présence d’une tombe à urne d’incinération entre les deux groupes de cabanes du Palatin permet de supposer l’existence d’un espace dégagé entre ces deux établissements, probablement une nécropole.
  • la plaine marécageuse située entre le Capitole et le Palatin, qui deviendra le forum romain, fut aussi d’abord une nécropole ; en 1902-1903, on trouva 41 tombes près du Temple d'Antonin et Faustine : des puits funéraires de tombes à incinération, des fosses d’inhumation avec des mobiliers variés, dont des vases proto-corinthiens du VIIe siècle av. J.-C. Des cabanes furent également repérées, au centre du forum et sur les pentes du Palatin.
  • sur le Quirinal, 5 tombes, les unes à incinération, les autres à inhumation
  • sur l’Esquilin, 86 tombes, toutes à inhumation, sauf quatre à incinération. Ces tombes contenaient un riche mobilier différent des précédentes nécropoles : des armes, des casques, des boucliers et même un char de combat.

Les datations réalisées s’échelonnent du Xe siècle av. J.-C. au VIIe siècle av. J.-C., ce qui est compatible avec la tradition. Les premiers habitants de Rome habitaient donc dans de grossières huttes de torchis à l’image des urnes funéraires en forme de cabanes rondes trouvées dans le forum, et étaient en majorité pasteurs et paysans.

Les premières interprétations archéologiques

[modifier | modifier le code]
Urne funéraire à incinération, en forme de cabane archa?que.

Parallèlement à ces découvertes, les études sur les peuples italiques indo-européens, dont font partie les Latins, indiquaient une prédominance pour les funérailles par incinération, tandis que les peuples méditerranéens étaient réputés adeptes exclusifs de l’inhumation. Les tombes à incinération furent donc toutes supposées latines. Puisque la tradition de la fondation de Rome décrivait un mélange entre Latins et Sabins, peuples différents, les tombes par inhumation furent systématiquement attribuées à des Sabins, qu’on estimait plus influencés par les coutumes méditerranéennes.

L’ethnie de chaque village fut ainsi déduite selon la proximité et le type des inhumations : Le cimetière du forum fut attribué aux Latins, ainsi que les cabanes du Palatin et de la Velia (confirmant la tradition), la nécropole de l'Esquilin aux Sabins (cette fois à l’encontre de la tradition qui y situe les Latins) de même que celle du Quirinal (malgré le petit nombre et la diversité des tombes).

On supposa une première fédération des deux villages du Palatin, apparemment les plus anciens, qui s’élargit ensuite à sept villages pour créer le Septimontium.

De nos jours, les archéologues sont moins catégoriques sur les attributions ethniques, d’autant plus que souvent sur un même site coexistent des tombes à incinération et des tombes à inhumation. Ils évitent les interprétations des trouvailles menées à la lumière des traditions et cherchent plut?t à placer les données archéologiques dans un contexte d’ensemble, avec ses évolutions et ses interactions culturelles.

L’approfondissement de la recherche archéologique

[modifier | modifier le code]

à partir de 1948, de nouvelles fouilles archéologiques à Rome et dans le Latium apportèrent des éléments factuels sur l’origine de Rome. à partir d’un recensement de tous les vestiges découverts à Rome et dans le Latium, l'archéologue suédois Einar Gjerstad (1897-1988) proposa une chronologie de la période allant du Xe siècle av. J.-C. au VIe siècle av. J.-C. en quatre phases. Très débattue par ses confrères, révisée par H. Müller-Karpe et R. Peroni en 1962, elle a fini par être admise comme cadre de référence :

  • La première phase se place au Xe siècle av. J.-C. à la fin de l’age du bronze et au début de l’age du fer. Les Latins pratiquent l’incinération, recueillent les restes dans des vases ou des urnes funéraires en forme de cabane (urne-cabane), puis réunissent dans une jarre (dolium) l’urne, des reproductions en miniature de mobilier ou d’objets usuels en bronze ou en terre cuite, parfois les restes du repas funéraire. Cette jarre est ensuite enterrée dans un puits funéraire. Ce mode d’incinération/inhumation est aussi pratiqué à la même période en étrurie (tombe a ziro).
  • La seconde phase va du début du IXe siècle av. J.-C. au début VIIIe siècle av. J.-C. (900-770 pour Müller-Karpe-Peroni). De nouveaux types de vases, des fibules démontrent des contacts avec l’étrurie et la Campanie. La pratique de l’incinération recule au profit de l’inhumation. On subdivise cette période en IIA (pratique majoritaire de l’incinération) et IIB (inhumation majoritaire).
  • La troisième phase occupe le milieu du VIIIe siècle av. J.-C. (770-730 pour Müller-Karpe-Peroni). Des importations de céramiques grecques de style géométrique apparaissent, imitées par la production locale. Les objets métalliques se diversifient, les tombes traduisent par la diversité de leur mobilier une différenciation sociale et l’apparition de familles riches.
  • La quatrième phase, dite orientalisante, va de la fin du VIIIe siècle av. J.-C. au début VIe siècle av. J.-C. (730-570 pour Müller-Karpe-Peroni). Les céramiques grecques et étrusques sont présentes dans tout le Latium. De riches tombes témoignent de l’existence d’une aristocratie guerrière dans le Latium, contemporaine de celle qui se développe en étrurie. C’est à cette période que se rattache le plus ancien document écrit connu, la fibule de Préneste portant en caractères grecs le nom de Numasios et datée d’environ -675. C’est également à cette période que l’on rattache les premières murailles découvertes au pied du Palatin en 1987, peut-être un vestige du pom?rium.

Nouvelles interprétations archéologiques

[modifier | modifier le code]

Cette série de fouilles sur un périmètre plus large complètent les fouilles d’avant la Seconde Guerre mondiale. Elles confirment la présence de hameaux dispersés sur les diverses collines de Rome dès le Xe siècle av. J.-C., avec une culture voisine de la culture villanovienne de l’étrurie (urnes cinéraires dans des tombes à puits). L’étiquetage sur le site de Rome entre des villages latins, sabins, étrusques se révèle maintenant un exercice hasardeux, sur des groupes humains aux conditions modestes et homogènes.

Ce peuplement dispersé évolue lentement, modifiant ses habitudes funéraires, sans que l’on puisse voir une rupture marquée, qui aurait reflété un changement brusque de peuplement. Le milieu du VIIIe siècle av. J.-C. témoigne d’une accélération de la différenciation sociale, et le début d’une société avec une aristocratie plus riche, en contact avec l’expansion grecque qui commence elle aussi à cette période. Ce mouvement touche l’étrurie, la Campanie, le Latium, et bien s?r le site de Rome.

Au VIIIe siècle av. J.-C., le forum romanum n’est plus un cimetière et commence à être habité. Les sépultures sont repoussées vers l'Esquilin. Ces tombes de guerriers se situent dans la phase IV de la chronologie, mais n’ont pas le luxe d’autres tombes latines de la même époque. Les importations à Rome de céramiques étrusques commencent vers la fin du VIIe siècle av. J.-C., en retard sur le reste du Latium. Toujours au VIIe siècle av. J.-C., le forum romanum devient un espace public, avec l’aménagement d’un sol empierré.

Le forum romanum appara?t comme le témoin de la naissance de Rome : il fut successivement marécage, cimetière à incinération puis à inhumation, lieu habité, espace public. L’historien Pierre Grimal l’étudia et en tira les observations qui suivent.

Les traces du rituel de fondation

[modifier | modifier le code]

Pierre Grimal relève dans son ouvrage Les Villes romaines les éléments récurrents du rituel de fondation pratiqué par les étrusques[25] puis par les Romains et confirmés par le plan des colonies qu’ils ont fondées et recoupés en partie par la description de Tite-Live[26] :

  • la délimitation de la cité par un sillon primordial, le sulcus primigenius, saignée ouvrant le sol et infranchissable car sous l’influence des dieux infernaux, délimitant ainsi l'enceinte sacrée, le pom?rium.
  • l’orientation selon les axes cardinaux, matérialisée par quatre portes face aux quatre points cardinaux, interrompant le tracé du sillon sacré ; les Latins nommaient ces deux axes le cardo et le decumanus.
  • une mise sous la protection des dieux ? d’en haut ?, en leur dédiant un temple sur un point élevé de la fondation, de fa?on que leur regard couvre la plus grande superficie possible de la future cité.
  • au centre de la fondation, une fosse circulaire appelée mundus recevant des offrandes pour les divinités ? d’en bas ?.

Si l’on ne trouve pas sur le périmètre du Palatin le souvenir de portes orientées selon les points cardinaux, telles que les aurait ménagées Romulus, en revanche quatre portes très anciennes étaient connues à l’époque romaine classique, qui bordaient le forum romanum[27] :

  • au nord, la porte de Janus
  • au sud, la porte Romaine
  • à l’est, la ? poutre de la s?ur ?, porte par où Horace meurtrier de sa s?ur, serait entré dans la ville après s’être purifié
  • à l’ouest, la Porta Pandana, de mauvais augure, et juchée sur la pente du Capitole afin que nul ne la franchisse.

Selon Pierre Grimal, ces portes sont les vestiges du rite de fondation, le decumanus, axe traditionnel Est-Ouest étant devenu la Via Sacra (Voie sacrée), tandis que le cardo Nord-Sud se lit dans les voies qui le prolongent, l’Argiletum au nord et le Vicus Tuscus au sud. Un autre point du rituel est respecté, par la position surplombante du temple du Capitole, pour la triade protectrice Jupiter, Junon, Minerve. Ces observations confirment donc le respect du rite de fondation, mais contredisent son lieu : le tracé fondateur déduit de ces quatre portes ceinture le vieux forum et non le Palatin comme l’indiquent Tite-Live et Denys d’Halicarnasse[27].

Les fouilles d'Andrea Carandini au Palatin

[modifier | modifier le code]

Les fouilles effectuées à partir de 1985 sous la direction d'Andrea Carandini sur un flanc du Palatin, dans une zone entre l'arc de Titus et la maison des Vestales, ont relancé les discussions sur la fondation de Rome et l'historicité possible d'une partie des traditions antiques. Les recherches conduites ont dégagé une importante stratigraphie reposant sur quatre murailles successives pouvant être datées respectivement des années -550--530, environ -600, environ -675 et environ -730--720[28]. La découverte des restes incontestables d'une délimitation urbaine au VIIIe siècle av. J.-C. autour du Palatin renvoie pour A. Carandini et A. Grandazzi à la fondation romuléenne de Rome. Selon A. Grandazzi le mythe de la fondation de Rome renverrait bien à un événement historique et à un personnage historique, que nous connaissons en tant que Romulus, dont la mémoire a été conservée et mythifiée, à travers notamment l'action de Servius Tullius. Si l'existence factuelle des restes découverts par A. Carandini n'est pas remise en question, les interprétations qui les mettent en rapport avec la tradition annalistique de Romulus et son éventuelle historicité restent encore très discutées[29].

Conclusions

[modifier | modifier le code]

Si l’on rapproche l’analyse de Pierre Grimal du phénomène de projection d’événements réels dans un passé mythique suggéré par Theodor Mommsen, on peut estimer que le rite de fondation a bien été exécuté par un pouvoir fort voulant unifier les villages installés sur les diverses collines qui entourent encore l'antique forum, mais à l’époque où la dépression de ce forum commen?ait à être peuplée. Quels sont les auteurs de cette fondation ? Là encore, il est délicat de départager les Romains des origines et les étrusques. Pierre Grimal penche pour la fondation d’une colonie étrusque, sur un site déjà habité et selon les rites attribués à Romulus. Les historiens modernes s’accordent à considérer que les rois étrusques en occupant la région vont faire de Rome une véritable ville vers , en la dotant d'une muraille, en aménageant le Forum Romain et en batissant le sanctuaire du Capitole. Les Romains antiques, quant à eux, se transmirent bien s?r le passé qui faisait d’eux les auteurs de la fondation de Rome[30].

Au contraire, si l'on veut suivre les analyses développées par A. Grandazzi, la formation de Rome doit être vue comme un processus complexe marqué par un événement fondateur vers  : la fondation d'une enceinte urbaine au sein de l'habitat déjà présent sur le Palatin, l'aménagement du forum correspondant seulement à une phase de développement et de monumentalisation d'une entité urbaine qui avait déjà son identité et son histoire. Les mythes ne constitueraient pas alors la projection dans le passé d’évènements postérieurs, mais entretiendraient avec les faits historiques des rapports plus complexes. Ainsi, selon l'historien Patrick Boucheron, ? loin de l'archéologie-spectacle, ce que les fouilles récentes révèlent n'est pas la fondation de Rome, mais le processus graduel, presque imperceptible, de sa formation urbaine (en)[31] ?.

Point fondamental de l'histoire scientifique de l'antiquité romaine, la question de la fondation de Rome, encore discutée aujourd'hui, montre la difficulté qu'il y a à confronter les sources antiques et la réalité archéologique malgré la progression certaine des connaissances sur la plus ancienne réalité de la ville de Rome.

Notes et références

[modifier | modifier le code]
  1. ? L’araire, charrue très élémentaire en bois, a un soc de bronze, seul métal convenant aux opérations religieuses (le fer, d’usage trop récent, est un métal impur) ?. La fondation de Rome se place en effet à l’age du fer[4].
  2. Caton écrit, dans ses Origines que c'était la coutume, dans ce rituel de fondation, d'atteler un taureau à droite sur le c?té extérieur (symbolisant la ville qui saura se défendre), et une vache à gauche sur le c?té intérieur (la ville saura se nourrir), l'attelage progressant d'est en ouest suivant la course du soleil (en) (sens antihoraire) et le soc de l'araire étant porté à l'emplacement des portes. ? Ce geste est celui d'un agriculteur. Il sépare le monde sauvage du monde de la cité. Le pomerium reste durant toute l'histoire de Rome une limite inviolable. Il oppose le monde des morts à celui des vivants, car les nécropoles doivent demeurer extérieures à la cité. mais cet interdit funéraire se double d'un interdit politique : le pomerium marque la limite du pouvoir des armes. Les soldats stationnent au champ de Mars, en dehors du pomerium, et seule une décision particulière du Sénat peut autoriser un général victorieux à le franchir avec son armée, en triomphe[5] ?.
  3. Par ce crime, Rémus a provoqué la prise du Capitole, le sac de Rome, les guerres civiles romaines
  4. La tradition sépare la fondation de Rome en deux clans rivaux qui se forment autour des jumeaux et qui se querellent au sujet de l'implantation du site. La querelle s'achève avec ce meurtre[6].
  5. ? Varron date l'événement de la 3e année de la 6e Olympiade, soit entre l'été 754 et le printemps 753. Et puisque le jour de la fondation est associé à la fête de Parilia, le 21 avril, où l'on honorait la déesse du bétail Palès, et qui devient le dies natalis, le jour anniversaire de Rome, la tradition se fixa au 21 avril 753[11] ?.

Références

[modifier | modifier le code]
  1. Musée de l'Ermitage
  2. Véronique Dase, Jumeaux, jumelles dans l'antiquité Grecque et Romaine, Akanthus, , p. 95
  3. André Pelletier, L'urbanisme romain sous l'Empire, Picard, , p. 10.
  4. Bernadette Liou-Gille, ? La fondation de Rome : lectures de la tradition ?, Histoire urbaine, no 13,‎ , p. 76 (DOI 10.3917/rhu.013.0067, lire en ligne).
  5. Patrick Boucheron, Quand l'histoire fait dates. Dix manières de créer l'événement, Seuil, , p. 65.
  6. Bernadette Liou-Gille, ? La fondation de Rome : lectures de la tradition ?, Histoire urbaine, no 13,‎ , p. 77.
  7. Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines. ? Livre I, chapitre 72 ? [détail des éditions] [lire en ligne].
  8. Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines. ? Livre I, chapitre 72, §5 ? [détail des éditions] [lire en ligne]
  9. Festus Grammaticus, De la signification des mots, art. "Rome" p.329.1 Lindsay.
  10. Liou-Gille 2005, § 2, p. 68.
  11. Patrick Boucheron, Quand l'histoire fait dates. Dix manières de créer l'événement, Seuil, , p. 66.
  12. a b c d e f et g Guittard 2013, p. 112.
  13. Censorin, Du Jour natal, XVII, 13.
  14. a et b Denys d'Halicarnasse, Antiquités romaines. ? Livre I, chapitre 74-75 ? [détail des éditions] [lire en ligne].
  15. Solin, loc. cit.[réf. non conforme]
  16. Pline l'Ancien, Histoire naturelle, III, 69 [détail des éditions] [lire en ligne]
  17. Tacite, Annales, IV, 65.
  18. Pline l'Ancien, Histoire naturelle, III, 16, 37 [détail des éditions] [lire en ligne]
  19. Massimo Pallottino, Origini e storia primitiva di Roma, Milano, 1993, p. 123 et pp. 130-131.
  20. Pline l'Ancien, Histoire naturelle, III, 68 [détail des éditions] [lire en ligne]
  21. Virgile, énéide [détail des éditions] [lire en ligne], VIII, 355.
  22. Virgile, énéide [détail des éditions] [lire en ligne], VIII, 857.
  23. Virgile, énéide [détail des éditions] [lire en ligne], VIII, 858.
  24. Jean Haudry, Les Jumeaux divins indo-européens, Os Celtas da Europa Atlantica. Actas do III congresso internacional sobre cultura celta, 15, 16, 17 de abril 2011, Naron pazo da cultura
  25. Dominique Briquel, La Civilisation étrusque, p. 133.
  26. Grimal 1990, p. 20-21.
  27. a et b Grimal 1990, p. 38-39.
  28. A. Grandazzi, La Fondation de Rome, Paris, 1997, p. 256 et suivantes.
  29. Jacques Poucet, Quand l'archéologie, se basant sur la tradition littéraire, fabrique de la fausse histoire : le cas des origines de Rome, Folia Electronica Classica, no 16 juillet-décembre 2008, texte PDF.
  30. Alexandre Grandazzi, La fondation de Rome. Réflexion sur l'histoire, Belles-Lettres, , p. 3-5
  31. Patrick Boucheron, Quand l'histoire fait dates. Dix manières de créer l'événement, Seuil, , p. 72.

Sources antiques

[modifier | modifier le code]

Bibliographie

[modifier | modifier le code]
  • Pierre Grimal, La Civilisation romaine, 1960, éditions Arthaud, 1981, éditions Flammarion.
  • Pierre Grimal, Les Villes romaines, coll. ? Que sais-je / 657 ?, , 125 p. (ISBN 9782130524533).
  • Alexandre Grandazzi, La Fondation de Rome, 1991, Les Belles Lettres (réédition 1997, Pluriel) (ISBN 9782012788206).
  • Alexandre Grandazzi, ? Penser les origines de Rome ?, Bulletin de l'Association Guillaume Budé, no 2,‎ , pp. 21-70 (lire en ligne).
  • Laura Orvieto, Contes et Légendes de la naissance de Rome, Pocket Junior (ISBN 9782266086318).
  • Marcel Le Glay, Rome, Grandeur et Déclin de la République, 1990, éd. Perrin, tome 1, (ISBN 9782262018979).
  • Marcel Le Glay, Yann le Bohec et Jean-Louis Voisin, Histoire romaine, éditions PUF, collection Quadridge Manuels, (ISBN 9782130550013).
  • Collectif, Naissance de Rome, catalogue d’exposition au Petit Palais, mars-mai 1977, Paris, Les Presses Artistiques, .
    • Fran?ois Villard, L'Archéologie et ses problèmes.
    • Giovanni Colonna, Milieu, peuplement, phases naturelles.
  • [Guittard 2013] Charles Guittard, chap. II.2 ? Les crises religieuses et les changements d'année dans l'Histoire romaine de Tite-Live : l'exemple des années - ?, dans Jean-Paul Morel et Agnès Rouveret (dir.), Le temps dans l'Antiquité (actes du CXXIXe Congrès national des sociétés historiques et scientifiques, intitulé Le Temps, et tenu à Besan?on en ), Paris, Comité des travaux historiques et scientifiques, coll. ? CTHS histoire ? (no 52), , 1re éd., 1 vol., 243, 15 × 22 cm (ISBN 978-2-7355-0793-1, EAN 9782735507931, OCLC 858211625, BNF 43627150, SUDOC 170910172, présentation en ligne, lire en ligne), part. II (? Temps des cités, des royaumes, des dieux, des écrits ?), p. 111-130.
  • [Liou-Gille 2005] Bernadette Liou-Gille, ? La fondation de Rome : lectures de la tradition ?, Histoire urbaine, no 13 : ? Fondations, refondations urbaines ?,‎ , p. 1re part., art. no 5, p. 67-83 (DOI 10.3917/rhu.013.0067, résumé, lire en ligne).
  • Alexandra Dardenay, Les mythes fondateurs de Rome. Images et politique dans l'Occident romain, Picard, , 237 p.

Articles connexes

[modifier | modifier le code]

Liens externes

[modifier | modifier le code]
用什么拖地最干净 心里不舒服挂什么科 凹陷性疤痕用什么药膏 国士无双是什么意思 父亲ab型母亲o型孩子什么血型
梦见蛇咬别人是什么意思 甚嚣尘上什么意思 湿疹为什么一热就出来 儿童贫血有什么症状表现 粿是什么意思
质变是什么意思 au750是什么金属 为什么会长寻常疣 虚恋是什么意思 口干咽干是什么原因
腰椎间盘突出吃什么药好 红糖水什么时候喝最好 火疖子用什么药膏 姓叶的男孩取什么名字好 便秘是什么引起的
2月1号是什么星座hcv9jop4ns9r.cn 甲功七项能查出什么病hcv8jop0ns4r.cn 膝盖缝里面疼什么原因hcv8jop2ns5r.cn 儿童中耳炎用什么药最好hcv8jop9ns8r.cn psa是什么jasonfriends.com
颈部ct能检查出什么hcv9jop2ns2r.cn 宫颈息肉吃什么药能消hcv9jop2ns3r.cn 梦见病人好了什么预兆hanqikai.com 杨梅有什么功效和作用hcv9jop5ns7r.cn 市委副秘书长什么级别hcv9jop2ns6r.cn
拉肚子喝什么水tiangongnft.com 烫发对身体有什么危害hcv8jop7ns0r.cn 肿气肿用什么药比较好huizhijixie.com 简直了是什么意思hcv9jop6ns9r.cn hpv是什么病xianpinbao.com
劲旅是什么意思hcv8jop0ns6r.cn 什么鸟不能吃inbungee.com 腔梗是什么病hcv8jop2ns9r.cn 上升星座是什么意思creativexi.com 军官是什么意思hcv8jop9ns4r.cn
百度